Αprés 3 heures d’attente à Central Park (=extérieur=humidité new yorkaise), trois “premières” parties et les menaces de cet agent de sécurité en quête de reconnaissance*, nous avons enfin pu assister au concert du groupe irlandais de rock alternatif, le Two Door Cinema Club.

⊥ Plaidoyer de l’attéré : Pourquoi interdire la prise de photos dans un concert ?
Publicité gratuite pour les artistes, activité propice à la diffusion de la culture au sens large (oui, nous vivons dans un monde supra-connecté), plaisir & souvenir perso. Cette situation est absurde et ce comportement parfaitement hypocrite (le droit à l’image et les flashs ? l’armée de téléphones portables au logo à la pomme s’en charge très bien).
Honnêtement, pensent-ils vraiment que je vais tirer profit de mes clichés ? Les photographes pro & journalistes ont le business bien en main. Enfin, vous remarquerez que j’ai bravé les menaces de ce justicier masqué lorsque 500 appareils ce sont révélés bras levés à l’entrée du groupe. J’ai envie de dire bref. ⊥

Si vous ne connaissez pas ce groupe désormais bien installé (signé par le prestigieux label Kitsuné), vous le connaissez forcément par un autre biais… la bande son de la pub du loto (too bad).

On se laisse entraîner par leur flow bien aiguisé et ce sample reconnaissable qui fait les grands groupes. Leur rock teinté d’électro et mâtiné de touches d’indie, a un touch très frenchie (semblable à Phoenix avec qui le groupe s’est produit en 2010). La communauté de fans est juste folle aux Etats-Unis (on était presque des intrus au milieu de tout ces fans brandés et  euphoriques), cela peut-être grâce au fort lien du groupe avec son public.

Talentueux & dechainés sur la scène. A ne pas louper.

Pour les intéressés, sachez qu’ils se produiront à l’automne du 9 novembre (Rouen) au 15 (Zénith de Paris).

WWT.

L.R.
@LauryRs